Lettre de Schmaltz demandant la restitution du Sénégal juste après son arrivée à St-Louis en
canot, 12 juillet 1816
FR ANOM 1101 COL 1-SEN/I/1d
Lettre du commandant de la Marine à Rochefort au Ministre sur l'état de la colonie et le moral
des Français, 20 décembre 1816
FR ANOM 1101 COL 1-SEN/I/1d
Lettre de Schmaltz exprimant le refus du gouverneur anglais MacCarthy de restituer la colonie du
Sénégal, 30 décembre 1816
FR ANOM 1101 COL 1-SEN/I/1c
Vue de Saint-Louis en 1845
Description nautique des cotes de l'Afrique occidentale par Bouët-Willaumez,
Paris, 1849
BIB SOMc1963
Embouchure du Sénégal et Saint-Louis
L'embouchure du fleuve Sénégal est séparée de la mer par une une bande de sable, parallèle à la
côte, que l'on nommait Pointe ou Langue de Barbarie. Elle protégeait les nombreuses îles de
l'estuaire. C'est là que put s'installer la famille Picard.
Charlotte Dard (née Picard) écrit dans son récit
« La chaumière africaine »
paru en 1824 :
« L'île de Safal est située à l'est de celle de Babaguey dont elle n'est séparée que par un bras
du fleuve. Cette île fut l'asile que nous choisîmes dans la suite, pour nous soustraire à la
misère... A l'est de l'île de Safal, se trouve la grande île de Bokos, dont la fertilité est
bien supérieure. »
On pouvait espérer faire pousser sur ces terres arides du coton et de l'indigo.
Atlas pour servir au voyage du Sénégal,
par Jean-Baptiste Léonard Durand, Paris, 1802
BIB AOM RES12243
Précis sur le Sénégal : La gomme
Le commerce de la gomme constituait un enjeu économique d'importance : il était réservé à
quelques traitants français, installés sur les bords du fleuve, qui pouvaient négocier avec les
Maures qui détenaient, dans cette région, le monopole de la production.
DFC Sénégal XVIII n° 100
Les Maures ramassant la gomme
Atlas pour servir au voyage du Sénégal,
par Jean-Baptiste Léonard Durand, Paris, 1802
BIB AOM RES12243
Archives nationales d'outre-mer
Sté leemage
"Les princes des Océans" de Giorgetti et Abranson, éditions Gründ