Nom du fonds : |
Fédération des industries mécaniques et transformatrices de métaux (FIMTM) |
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Entrée : |
78 AS |
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Niveau de description : |
fonds |
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Fonds rattachés : |
Paul Barbiche |
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Dates extrêmes : |
1958-1988 |
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Importance matérielle : |
14 unités documentaires, 1,64 mètre linéaire |
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Statut : |
archives privées appartenant à l'État |
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Modalités d'entrée : |
don de 1991 (non finalisé) |
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Conditions d'accès : |
communicable suivant les délais légaux |
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Instrument de recherche : |
Répertoire numérique réalisé par Françoise Hildesheimer |
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Brochure thématique : |
Les archives du mouvement mutualiste et du mouvement syndical |
Présentation de l'entrée :
Le fonds de la Fédération des industries mécaniques et transformatrices de métaux est entré par voie de don aux Archives Nationales en 1991 sous la cote 78 AS.
Il a été transféré en 1998 au Centre des archives du monde du travail sous le numéro d'entrée 1998 052.
Notice historique :
Les origines de la Fédération des industries mécaniques et transformatrices des métaux remontent au milieu du XIXème siècle. C’est en mai 1840 que les dirigeants des principales entreprises de constructions mécaniques d’alors constituèrent une “ Union des Constructeurs ”, dans le but de faire valoir auprès du Parlement, de l’administration et de l’opinion publique les mesures les plus propres à assurer le développement de leurs industries.
Entre 1870 et 1914, l’essor prodigieux que prirent les industries mécaniques entraîna un considérable développement des activités de l’Union des Constructeurs devenue Syndicat des Mécaniciens, Chaudronniers et Fondeurs sous l’égide de la loi Waldeck-Rousseau.
Le Syndicat des Mécaniciens, Chaudronniers et Fondeurs ayant modifié son titre en celui de Syndicat des Industries Mécaniques de France, poursuivit entre les deux guerres une carrières particulièrement féconde en résultats, représentant et défendant avec autorité les intérêts des professions mécaniques groupées sous son égide. En 1939, il apporta une collaboration active aux services de l’Armement. Pendant l’occupation, il subit le sort commun des groupements syndicaux éclipsés par les Comités d’Organisation (Loi du 16 août 1940).
La reprise des activités syndicales qui se produisit après la deuxième guerre mondiale amena une nouvelle transformation de l’ancien groupement de la Mécanique qui devint une Union des Chambres syndicales, sous le titre de Syndicat Général des Industries Mécaniques et Transformatrices des Métaux jusqu’en 1953, et à dater du 1er janvier 1954 sous la dénomination de Fédération des Industries Mécaniques et Transformatrices des Métaux. Cet organisme entreprit la tâche de fédérer les Syndicats professionnels nationaux des différentes branches de la Mécanique et de la Transformation des Métaux et de prendre en charge la défense de leurs intérêts sur le plan économique et professionnel.
Dans les années 1960, la Fédération des Industries Mécaniques et Transformatrices des Métaux regroupait 77 syndicats et plus de 9 syndicats correspondants.
Elle fait partie intégrante depuis la libération du Conseil national du patronat français (CNPF), structure dirigeante du syndicalisme patronal.
Présentation du contenu :
78 AS 1-2 |
Gros matériel d'équipement : "groupe Vicaire" |
1958-1961 |
78 AS 3-5 |
Régime des prix. |
1962-1972 |
78 AS 6-8 |
Comité des industries exposées |
1964-1966 |
78 AS 8 |
Comité de développement industriel : documents de travail du groupe "mécanique" |
1966-1967 |
78 AS 9 |
Programme de développement à long terme des industries mécaniques et transformatrices de métaux. (1970-1973). Propositions et programme d'action pour 1974-1976 (1974) |
1970-1974 |
78 AS 10 |
Programme d'action 1974 et étude du Plan ; exportations et investissements ; programmes sectoriels de développement |
1974-1975 |
78 AS 11-14 |
Relations avec EDF |
1967-1981 |
78 AS 14 |
Club français de l'hydraulique : dossier sans suite |
1988 |