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Nom du fonds : |
Jeunesse
ouvrière chrétienne (JOC) |
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Entrée : |
1999 016 |
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Niveau de description : |
fonds |
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Fonds rattachés : |
Francis PHILIPPE, militant permanent de la JOC, puis de la CFDT |
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Jeunesse Ouvrière Chrétienne de Roubaix-Tourcoing |
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Dates extrêmes : |
1930-1999 |
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Importance matérielle : |
13 mètres linéaires |
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Statut : |
archives privées |
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Modalités d'entrée : |
en attente de l’actualisation du contrat de dépôt |
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Conditions d'accès : |
en attente de l’actualisation du contrat de dépôt |
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Instrument de recherche : |
Répertoire méthodique réalisé en 2015 par Elsa Vignier, archiviste, sous la direction de Vincent Boully, conservateur du patrimoine |
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Brochures thématiques : |
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Jeunesse ouvrière chrétienne |
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Présentation de l'entrée :
Ce fonds est entré par dépôt au Centre des archives du monde du travail en 1999 sous le numéro d’entrée 1999 016, accompagné d’un bordereau sommaire établi par le producteur. A l’issue des opérations de tri et de classement réalisées en 2015, un répertoire méthodique détaillé a été élaboré.
Notice historique ou biographique :
La Jeunesse ouvrière chrétienne (JOC) est une association créée en Belgique en 1925 par l’abbé Joseph Cardijn. Elle rassemble des jeunes travailleurs chrétiens du monde ouvrier. Elle apparaît ensuite en France en 1927 grâce à l’initiative du père Georges Guérin.
Jusqu’en 1987, la JOC est scindée en deux structures distinctes : la JOC, structure masculine, et la JOCF (Jeunesse ouvrière chrétienne féminine), structure créée en 1928 par Jeanne Aubert.
La JOCF débute à Dunkerque sous l'impulsion de l'aumônier Gérard Pels. Elle est très active dès le début des années 1930 ; ses militantes, formées soigneusement, réalisent en particulier plusieurs enquêtes sur le monde du travail. Elles sont regroupées par quartiers ou par milieux. De fréquentes réunions, des journées d'études, contribuent à créer une unité et un fort sentiment d'appartenance à un mouvement en pleine expansion.
Il en est de même pour la JOC, dynamique jusqu'à la rupture que créent l'Occupation et le départ de nombreux militants, partis en zone libre ou au STO. Les militantes de la JOCF se replient sur des activités d'entraide devenues primordiales.
La JOC et la JOCF reprennent vigueur et nombre dans l'après-guerre avec l'Abbé Delepoule. Le mouvement jociste connaît des changements marquants depuis les années 50. Les contours géographiques de la fédération évoluent : les rencontres régionales réunissent les militants de Dunkerque, Calais, Boulogne-sur-Mer, Saint-Omer et Hazebrouck. Les activités, elles aussi, évoluent : tout en gardant le souci des adolescents intégrés dans le monde du travail (apprentis, jeunes professionnels), la JOC se tourne vers le milieu scolaire, puis à partir des années 1970, vers le monde des jeunes chômeurs.
Présentation du contenu :
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1999 016 001-072, 436 |
Fonctionnement |
1940-1993 |
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1999 016 074-125, 437-444, 455-456 |
Activités |
1939-1998 |
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1999 016 073, 126-317 ,436, 445-454 |
Relations avec d’autres organismes |
1936-1999 |
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1999 016 318-370, 457-474 |
Communication |
1937-1995 |
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1999 016 371-435 |
Bibliothèque |
1930-1992 |